Delta Diffusion applique la démarche RSE et commercialise des solutions et des procédés respectant l'environnement. Le nettoyage cryogénique est une technique écologique et économique utilisant de la glace carbonique, ne produisant pas de déchets secondaires. L'aérogommage est une méthode de décapage qui respecte les surfaces traitées et qui utilise des abrasifs d'origine naturelle comme l'abrasif Garnet, protégeant l'environnement et les utilisateurs.
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La pollution technologique est la principale préoccupation de notre décennie. Les sources sont nombreuses : les objets connectés, la télévision, la pollution numérique…
Lutter contre la pollution technologique passe tout d’abord par une utilisation moindre d'objets informatiques et leur production avec des moyens durables. La pollution technologique est la conséquence directe de la production et de l'usage de nouvelles technologies.
La production technologique peut être également identifiée en tant que pollution numérique, en raison d'une inter-connectivité de plus en plus grande des appareils et des services. Le numérique était vu comme une solution pour lutter contre le réchauffement climatique, mais ce n’est pas vraiment le cas. La « transparence » du numérique cache en effet des impacts environnementaux dont les conséquences sont non négligeables.
La connexion à Internet devient aujourd'hui un enjeu crucial pour les acteurs économiques et sociaux. L'image et la reconnaissance de l'entreprise sont devenue numériques. Cependant, pour accéder à Internet, il faut disposer d'appareils connectés à des serveurs, constamment branchés. Cette connexion fait exploser la consommation d’électricité.
Les appareils connectés ne produisent pas de pollution visible, mais émettent des quantités importantes de CO2. L’utilisation excessive des appareils numériques, responsable de 4% des émissions de gaz à effet de serre, risque de doubler l’empreinte de carbone d’ici 2025, selon les statistiques de l’ADEME.
De plus, laa production du matériel informatique, est une grande source de pollution technologique, la production des ordinateurs étant un bon exemple. Elle requiert des dizaines de métaux en provenance du monde entier. L’extraction de ces minerais est très coûteuse pour l’environnement et exige beaucoup d’énergie (notamment énergie fossile), d’eau et de ressources. Autre exemple : 90% de l’énergie consommée par un téléphone est produit lors de sa fabrication (source : Korii).
Les plus grands acteurs de la pollution technologique s'avèrent être plutôt discrets. L'utilisation quotidienne des technologies et de Internet n'est pas l'unique cause.
Parmi les acteurs-pollueurs « discrets » on peut compter entre autres :
Pour agir en faveur de la planète certaines actions peuvent réduire la pollution technologique. Voici quelques propositions :
Les fabricants des appareils informatiques (ordinateurs, tablettes, smartphones, téléviseurs) mise sur l’obsolescence des produits pour inciter les consommateurs à échanger régulièrement leur équipement pour les modèles plus modernes. Les techniques sont bien connues : fragilité des objets, coûts élevés des réparations, indisponibilité des pièces détachées, marketing agressif, etc.
Pour palier à ces pratiques plusieurs actions sont à entreprendre : ne pas céder à la publicité, acheter l’équipement d’occasion et « low tech » ou essayer de le réparer. Des associations comme HOP (Halte à l’Obsolescence Programmée) agissent pour contraindre les entreprises et faciliter les bonnes pratiques.
Les vidéos en très haute définition sont des sources de pollution à deux niveaux : elles incitent l’acquisition d’écrans plus grands et plus complexes, qui sont donc plus polluants et demandent beaucoup plus d’énergie pour fonctionner (plus lourdes). Pour éviter la pollution vidéo, on peut adapter la résolution à l’écran, bloquez la lecture automatique sur les réseaux sociaux pour limiter les informations lues ou encore éviter l’achat et l’utilisation des téléviseurs 4K et 8K.
Les objets connectés présentent certes un confort et un avantage dans l’utilisation, mais ont un coût écologique très élevé. Ils font également peser des risques importants sur la vie privée des utilisateurs.
Les box Internet sont des appareils, qui consomment beaucoup d’électricité, même lorsqu’on n’utilise pas Internet. Leur consommation annuelle se situe entre 150 et 300 kWh – autant que la consommation d’un réfrigérateur !
Les écrans vidéo sont un moyen efficace pour interpeller un potentiel client, mais un moyen, qui est très nocif pour l’environnement. En 2018 on note en France environ un million des écrans vidéo, générant chacub 350 kg de CO2 par an. Ce chiffre équivaut à un million d’allers-retours en avion sur le trajet Paris-Nice chaque année. De nombreux collectifs à Lyon ou à Paris existent pour lutter contre cette pratique.